Bien s’assurer au Canada

Bien s’assurer au Canada

Bien s’assurer au Canada !

23

Novembre, 2022

Bien s’assurer au Canada !

Doit-on toujours prendre une assurance pour venir au Canada ?

La réponse est oui mais…

Car oui, il y a forcément un mais.

Attention, le type d’assurance et la longueur de cette dernière vont grandement varier en fonction de votre situation et des raisons de votre venue au Canada.

Il faudra donc prendre le temps de bien analyser votre situation et la couverture qui vous correspond le plus afin d’être bon et surtout de bien s’assurer au Canada.

Une chose est sûre, tu trouveras déjà pas mal d’option sur notre page assurance de notre site!

Si venez au Canada pour du court terme 👇

Vérifier votre couverture avec votre assurance en France et/ou votre carte bancaire.

Parfois, c’est suffisant, mais parfois, il est nécessaire de prendre une assurance pour la durée de son séjour afin d’être tranquille et couvert en cas de pépin!

À vous de naviguer entre les différentes options qui s’offrent à vous.

De notre côté, nous recommandons notre partenaire Chapka avec son assurance Cap Assistance! Vous serrez bien couvert pour un montant raisonnable et vous aurez le rapatriement compris en cas de pépin.

Bonne nouvelle, vous avez une réduction de 5% avec notre lien partenaire ici !

      Vous venez au Canada pour du long terme

      Là encore, de nombreuses possibilités s’offrent à vous.

      Vous venez en PVT ou JP :

      Il vous faudra alors une assurance pour couvrir l’ensemble de votre séjour. 2 ans pour un PVT par exemple. Et cette assurance devra forcément offrir :

      • Une couverture maladie
      • Une couverture hospitalisation
      • Le rapatriement

      Et attention, certains agents d’immigration peuvent vous refuser l’entrée au Canada si vous n’avez pas d’assurance ou bien une assurance qui ne couvre pas la durée complète de votre permis! C’est un scénario qui s’est souvent produit au Canada ! Si vous prenez une assurance de 6 mois, vous pourrez être recalé voir obtenir un PVT de la même durée : La durée de votre assurance a donc un impact sur votre PVT.

      Là encore nos partenaires de Chapka propose une couverture complète et compétitive avec leur formule Cap Working Holiday et vous avez encore une réduction avec notre lien partenaire 😊

       

      Vous venez étudier au Canada :

      L’assurance santé devient alors indispensable et obligatoire pour tous les étudiants français partant étudier au pays de l’érable, que cela soit dans le cadre d’un échange universitaire ou pour un cursus complet.

      Une fois en dehors de l’Europe, vous n’êtes plus couvert par l’assurance maladie française ou européenne. Il est alors indispensable de souscrire à une assurance santé dédiée à votre projet, de préférence auprès d’un organisme proposant des offres dédiées aux étudiants partant étudier à l’étranger.

      Et rebelote, notre partenaire Chapka vous propose une option complète avec des plafonds compétitifs avec leurs formules Cap Student à découvrir avec notre réduction ici!

       

      Vous venez au Canada avec un permis de travail ou de conjoint de fait :

      Cette fois-ci, attention, vous serez couvert par votre assurance provinciale une fois en poste et surtout par la couverture collective que peut vous proposer votre entreprise.

      Renseignez-vous bien, car il est parfois plus prudent de compléter ces couvertures par une assurance privée, mais en général, c’est suffisant.

      Quoi qu’il arrive, vous aurez une période de latence entre votre arrivée et le début de votre emploi et l’activation de vos droits d’assuré, que ce soit au provincial ou bien avec votre entreprise. Donc, vous devez vous assurer pour cette période de 3 à 4 mois en attendant d’être couvert de votre côté.

      Dans ce cas, prenez une assurance court terme de notre partenaire Chapka. Vous aurez de beaux plafonds et un prix abordable. Pour découvrir leur formule Cap Tempo Expat avec notre réduction incluse, vous pouvez cliquer ici !

          Du coup, quelle est la formule idéale pour

          bien s’assurer au Canada ?

          Comme expliqué précédemment, tout dépendra de votre projet et de vos attentes concernant votre protection. Un sportif qui vient s’installer 6 mois ne s’assurera pas de la même manière que quelqu’un qui vient visiter Montréal 4 jours.

          Donc essayer de prendre en considération :

          • La durée de votre séjour (le risque augmente avec le temps)
          • La nature de vos hébergements (la garantie annulation fonctionne généralement avec des hôteliers professionnels, pas avec les plateformes entre particuliers)
          • Les activités prévues durant votre séjour au Canada (visite de Montréal ou randonnée au cœur des Rocheuses)
          • Le montant des frais médicaux dans le pays (attention, ils sont élevés au Canada !)
          • Votre état de santé.

           

          Ensuite, on vous laisse regarder un peu ce qui vous est proposé, mais sachez que vous pouvez aller sur le site de Chapka notre partenaire, vous trouver de quoi bien s’assurer au Canada.

          Si nous les avons choisis, c’est qu’après avoir étudié et épluché les différentes options sur le marché, Chapka c’est aujourd’hui la meilleure option qualité/prix sur le marché selon Canada Explorers. Les plafonds des couvertures sont bons et le prix est compétitif et ils vous offrent de belles options pour bien vous assurer au Canada.

          À vous de regarder tout ça ici : les assurances Chapka

          Nous, on vous dit à très bientôt et surtout bonne journée à tous!

           

          Pablito 🍁

              Article rédigé par Pablito – Expat niveau 87 sur l’échelle de Richter

              Un pays bilingue

              Un pays bilingue

              Un pays bilingue

              7

              Septembre, 2022

              Immigration

              Canada

              Un pays bilingue

               

              Difficile d’imaginer qu’en France la moitié de la population parle anglais et l’autre français.

              Non, notre langue c’est notre patrimoine, notre identité.

              Pourtant au Canada c’est leurs réalités.

              C’est un pays bilingue

              Et aujourd’hui un habitant de Calgary peut se trouver face à un habitant de Gatineau et ne pas pouvoir communiquer avec lui.

              Culturellement un Québécois peut être beaucoup plus proche de nous (les français) ses lointains cousins que d’un de ses propres compatriotes.

              Étrangeté d’un pays schizophrène mais qui soulève la question suivante pour nous :

               

              Devons nous parler anglais pour immigrer dans un pays bilingue comme le Canada ?

              Maîtriser le français est essentiel pour réussir son intégration au Québec, mais est-ce suffisant pour assurer la réussite de son immigration?  La question mérite d’être posée 🤔

              Aujourd’hui en France de nombreux postes hauts placés requièrent la maîtrise de l’anglais et la langue de Shakespeare est de plus en plus maîtrisée. 

              C’est sans doute pour cela qu’il est parfois surprenant de voir que dans certaines parties du Québec l’anglais est si peu maîtrisé.

              Ici, en Amérique du Nord.

              Ici, où 8 millions de francophones sont entourés par 350 millions d’anglophones.

              Ici, où la frontière US n’est jamais loin.

              La langue de Shakespeare est parfois à peine comprise.

              Mais attention, la réciproque est aussi vraie, voire encore plus marquée. En effet, au sein des provinces anglophones il est très compliqué de trouver quelqu’un maîtrisant avec aisance la langue de Molière.

              Le Canada est officiellement un pays bilingue. Mais avec un seuil de 18% d’après les chiffres du dernier recensement 🤏

              Et là vous me voyez venir les explorateurs, c’est ici que réside notre opportunité!

              Dans une économie globale, être unilingue peut vite devenir un handicap. Un ingénieur de Québec m’expliquait qu’après plus de 20 années dans la même compagnie québécoise, certains collègues qui étaient rentrés en même temps que lui sont, depuis, devenus directeurs. De son côté il avait atteint prématurément le pic de sa carrière. Il aurait pu évoluer vers plus de responsabilités : diriger des équipes au Canada ou en Inde, négocier avec des fournisseurs d’autres provinces, etc. Mais à l’évidence sa non maîtrise de l’anglais ne lui permet pas de nourrir de trop grandes ambitions.

              Résultat : la compagnie a recours au recrutement international pour chercher à l’étranger des gestionnaires parfaitement bilingues.

              A l’inverse dans les provinces anglophones le peu de gens maitrisant le français qui est parfois obligatoire dans des postes clés de l’administration et souvent essentiel dans les entreprises qui ont des relations avec le Québec, est, là encore, une chance pour nous de profiter de notre maîtrise plus ou moins bonne du français et de l’anglais.

              Cela laisse pas mal de place pour les immigrants qui auront pris la peine d’investir du temps et tout l’effort nécessaire pour maîtriser les deux langues nationales. Et c’est aussi pourquoi c’est l’un des critère qui permet de marquer des points dans une demande d’Entrée Express👈

              Un pays bilingue

              Alors NON ce n’est pas obligatoire d’être bilingue pour immigrer au Canada ou au Québec.

              Mais c’est toujours un boost pour son projet d’expatriation surtout en entreprise où l’anglais reste bien présent notamment à Montréal.

              Et arriver sur le marché du travail sur la partie anglophone et en parlant français, compétence que la plupart des Canadiens ne maîtrise malheureusement pas, c’est une excellente carte à jouer pour booster votre immigration. Particulièrement lorsqu’on sort de nulle part, avec un diplôme délivré par un établissement inconnu, des références professionnelles lointaines et des références francophones.

              Alors, le bilinguisme: un avantage plus important qu’il n’y paraît?

              On attend vos retours en commentaires avec impatience et si vous souhaitez mettre à jour votre niveau d’anglais n’oubliez pas que vous pouvez contacter nos partenaires/amis d’Amazing Anglo Saxon Culture

              Nougatine et chocolat pour tous!

              Pablito 🖖

              Article rédigé par Pablito – Co-fondateur chez Canada Explorers

              Expatriation en famille au Québec

              Expatriation en famille au Québec

              Expatriation en famille au Québec : Témoignage de Jeremy et d’émilie expatriés à Trois-Rivières avec leurs deux enfants

              21

              Septembre, 2022

              Expatriation
              Famille
              Québec

              Aujourd’hui, on a le plaisir de recueillir le témoignage de Jeremy et Émilie, adhérents à Canada-Explorers, qui ont réalisé leur expatriation en famille au Québec en décembre 2021.

              1) Présente-toi (âge, ville dans laquelle tu vivais avant de t’expatrier..)

              Nous nous appelons Emilie et Jeremy 38 ans tous les deux, et deux enfants de 4 et 8 ans, nous vivions à Montpellier avant de partir.

               

              Pourquoi avoir choisi une expatriation en famille au Québec ?

              Pour la gentillesse et bienveillance, la pédagogie encourageante à l’école, les grands espaces, les grandes maisons, le plein emploi, pour quitter la France, mais ne pas avoir une trop grosse barrière de langue, sinon c’était la Scandinavie. Pour essayer de donner une vie bien meilleure à nos deux filles, que celle qui semblait les attendre en France… Pour découvrir un autre peuple, un autre pays, un autre mode de vie. Aller voir, avec espoir, si on retrouve ce sentiment de sécurité dont tout le monde parle et qu’on a l’impression d’avoir perdu depuis plusieurs années. 

              3) Es-tu parti seul, en couple ou en famille ?

              Nous sommes partis en famille, tous ensembles en même temps. Avec un permis d’études pour madame et un permis de travailleur ouvert pour monsieur. Bref, une vraie expatriation en famille au Québec.

               

              Expatriation en famille au Québec

              4) Où habitez-vous ? Pourquoi avoir choisi cette destination ?

              Nous habitons à Trois Rivières, nous avons acheté une maison assez rapidement selon les contraintes rencontrées.
              Dans un premier temps on a choisi cette destination pour les études d’Emilie et le cursus qui lui plaisait, Trois-Rivieres n’était pas la seule place mais il était clair qu’on ciblait une ville de taille moyenne et après avoir discuté avec nos proches qui vivent aux Canada, et fait des recherches sur cette ville, on était sûr que ce choix correspondait avec ce qu’on recherchait comme environnement. Le prix du marché immobilier y est encore largement abordable, la ville est bien équipée et la circulation plutôt fluide, après nos expériences françaises d’embouteillages chronophages on avait hâte de voir si c’était vrai et on est pas déçu, pantoute pantoute! À tous les niveaux.

              5) Depuis combien de temps êtes-vous au Canada ?

              Ça fait 6 mois que nous sommes arrivés au Canada au moment où je rédige ces lignes. Pour l’instant on n’a pas encore passé les frontières du Québec mais on a un peu visité, surtout la Mauricie.

              6) Comment s’est passée votre intégration à Trois-Rivières ?

              Au niveau de l’integration nous avons été accompagnés par le SANA mais heureusement qu’on a pas trop attendu après eux et pris des initiatives car ils sont un peu lents à la détente et certainement un peu débordés.
              Pour ce qui est des enfants l’adaptation est totale, pour ma part je suis vraiment entourés de gens adorables qui nous aident au quotidien. Pour ma femme par contre c’est un peu plus compliqué car ses camarades de classe ne sont pas dans la même tranche d’âge, elle n’a pas encore vraiment eu de rapports amicaux à part avec d’autres expats, mais on y travaille. Et elle a été embauchée à ma job pour faire quelques remplacements, mes boss sont adorables.

              7) Avez-vous rencontrés des difficultés particulières depuis votre arrivée ?

              On a eu des soucis pour recevoir nos cartes de crédit. La façon dont les achats de propriétés se passent avec les surenchères à qui offre le plus… sinon quelques mauvaises surprises notamment sur les places de garderie mais pas autant que certains. Par contre nous n’aurons pas réussi à avoir une place en camp de jour cet été… snif

               

              Avantages VS Inconvénients du Canada

              8) Quels sont les avantages du Canada ?

              Parmi les avantages du Canada il y a ceux évoqués dans ce qu’on cherchait en choisissant le Canada.
              Un plus pour toutes les activités gratuites et variées pour les enfants, les bons salaires payés aux deux semaines.
              Et bien sûr les paysages, vivement l’automne d’ailleurs car nous sommes arrivés au début de l’hiver, les grands espaces, la circulation, la gratuité des autoroutes et des stationnements (là où on vit), je me répète mais la gentillesse, la sécurité, etc.
              Même les sacres, ils ne sont pas systématiquement misogynes ou sexistes, mine de rien ça change beaucoup de choses.

              9) Quels sont les inconvénients du Canada ?

              Les inconvénients du Canada se manifestent souvent avec le manque de main d’oeuvre qui rend parfois certains services inaccessibles ou les délais d’attente affreusement longs.

              Sinon tout est sucré esti! Même la sauce du Big Mac!
              Les prix HT avec les tips, tu ne sais jamais vraiment combien ça va te coûter au final.

              PS : Nous avions écrit un article sur les Avantages VS les Inconvénients du Canada

               

              10) Après 6 mois au Canada, qu’est-ce qui vous manque de France ?

              Même si concrètement, il s’agit juste de nostalgie, je dirai que ce qui nous manque le plus encore, c’est le saucisson sec nature, la bonne saucisse de Toulouse, la pâte feuilletée (on va s’y remettre à la faire maison), les bonnes pizzas, des restaurants avec prix TTC, payer le pourboire après avoir été servi… et surtout nos amis proches

              11) Comment envisagez-vous la suite de votre aventure ?

              Pour la suite, on envisage une demande de RP et la citoyenneté au bout du chemin, et pleins de projets, on va attendre d’avoir deux salaires et en attendant, on va aller découvrir à coup sûr d’autres régions du Québec et d’autres provinces du Canada.

              Un petit mot à rajouter pour la fin ?

              L’expatriation, c’est comme tous les choix dans la vie, ça ne se passe pas toujours comme prévu, on a des doutes, on a des peines, des surprises, des coups de folies, des hauts et des bas, mais si on s’en donne les moyens, et qu’on est bien entouré, ça peut devenir le meilleur choix qu’on ait fait. Je suis persuadé que les meilleurs moments de nos vies se cachent souvent derrières les barrières invisibles que l’ont créé avec nos peurs et le besoin de confort rassurant.
              À tous ceux qui hésitent encore, je dirai toujours que sortir de sa zone de confort ça demande du courage, que ce n’est pas fait pour tout le monde, mais que c’est en faisant ce choix qu’on saura si c’était le bon choix, au pire, on apprend sur nos limites et nos forces de caractère, au mieux, on entame notre vie 2.0 avec toutes les cartes en main pour en faire une vie épanouie. Et surtout, plein de force à celles et ceux qui vont tenter une expatriation en famille au Québec.

              Vous souhaitez améliorer votre qualité de vie en vous expatriant au Canada ?

              Envie de tenter une expatriation en famille au Québec ?

              Écrivez à Bastien ou à Paul pour en savoir plus sur notre accompagnement personnalisé 😉

              Article rédigé par Jeremy Roveri – Adhérent à Canada-Explorers et expatrié en famille à Trois-Rivières depuis décembre

              Un PVT pour deux personnes

              Un PVT pour deux personnes

              Un PVT pour

              deux personnes

              La suite 

              26

              Juillet, 2022

              Colombie-Britannique

              PVT

              Vancouver

               

              Il y a quelques semaines, Jennifer nous parlait de son immigration avec un PVT pour deux personnes!

              Comment elle s’organisait pour venir avec son conjoint qui lui était en visa touristique et comment ils planifiaient de régulariser leur situation.

              D’ailleurs, si nous n’avais pas lu la première partie de son aventure, vous pouvez le faire tout de suite en cliquant ici !

              Elle nous avait laissé avec comme objectif de faire le tour du poteau avec son conjoint pour lui permettre d’obtenir un permis de conjoint de fait.

              Voyons la suite de leur aventure 🍿

               

              Canada day : un jour de fête.. 

              Le 1er juillet, jour de la fête du Canada, on s’est dit : “C’est le moment parfait pour faire une demande de visa de conjoint de fait! Mais bon, ça passe ou ça casse.. Soit les douaniers sont de bonne humeur parce qu’aujourd’hui c’est la fête nationale de leur pays, soit ils sont dégoutés parce qu’ils doivent travailler alors que tout le monde fait la fête, et ils vont être plus coriaces !”

              On a pensé positivement! Pour nous, faire la demande de visa de conjoint de fait en faisant le tour du poteau le jour de la fête du Canada, c’était de bon augure, ça ne pouvait que nous porter chance ! Et puis, c’est beau de se dire qu’on est accueilli par ce joli pays, le jour de sa fête. « Ça fait du sens » comme on dit au Québec !

              Nous voilà donc partis à 7h du matin le 1er juillet, de Vancouver, direction Point Roberts/Boundary bay, petit poste frontalier entre les USA et le Canada. De Vancouver, quand tu n’as pas de voiture, c’est le poste le plus simple à atteindre en transport en commun. Après un bus, un train, un autre bus et un peu de marche, nous arrivons à pied à la frontière des USA (deux heures plus tard quand même).

              Point important auquel on n’avait pas pensé avant d’être en route pour la frontière : il faut remplir ArriveCAN avant d’y aller ! Ils ne vérifient pas forcément, mais c’est toujours mieux de l’avoir fait, même si techniquement, en faisant le tour du poteau, on ne sort pas du pays, les douaniers canadiens nous ont demandé si nous l’avions rempli. Pour ceux qui ne sont pas au courant, ArriveCAN, c’est un formulaire à remplir en ligne ou sur l’application, qui indique d’où vous venez, à quelle heure vous arrivez sur le territoire canadien, quel est votre statut au Canada, si vous arrivez par bateau, avion, à pied, en voiture, en train, et votre statut vaccinal.

               

              C’était un petit aparté, mais revenons à nos moutons !

               

              Le douanier USA nous demande d’approcher, regarde nos passeports et on lui dit tout de suite qu’on veut juste faire le tour du poteau (flagpoling en anglais) pour faire une demande visa de travail. Très gentiment, il nous dit de retourner vers le bureau frontalier canadien et de dire que nous sommes venus le voir et que nous faisons le tour du poteau. Pas de petit papier, tampon, rien du tout! J’ai l’impression que ça dépend de la personne sur laquelle on tombe.

              Retour vers le bureau frontalier du Canada, on nous demande d’approcher, on lui explique ce que nous sommes venus faire : flagpoling et demande de Spousal Open Work Permit. Il demande mon statut au Canada, celui de mon copain. Puis, il veut voir mon visa de travail, et il me demande quel est mon numéro CNP. Ensuite, il demande si on a rempli ArriveCAN, si on ramène de l’alcool, des armes, de la drogue (les questions de bases quoi), et puis il nous passe un petit papier jaune et nous indique où nous présenter à l’intérieur pour déposer notre dossier.

               

              (Ah et petit truc bien relou : je suis choisi aléatoirement pour faire un test covid à la maison sous 24 heures ! 🙄 Il m’a filé un kit et c’est vraiment pas simple pour s’enregistrer, prendre un rdv pour faire le test en visio avec quelqu’un qui te regarde, puis déposer le spécimen à la pharmacie et attendre de longs jours avant que le résultat du test arrive, avec le gouvernement qui t’appelle pour savoir si t’as fait ton test ou pas !! RELOU)

              Masque obligatoire à l’intérieur ! Mais ils en donnent si vous avez oublié. On se présente, on explique ce qu’on vient faire ici, le douanier me demande si j’ai mon visa de travail, mes fiches de paye, la lettre de l’employeur, un certificat de mariage ou déclaration d’union de fait. Je lui montre mon énorme dossier et puis il me dit “I’ll take everything!”. Il prend aussi le passeport de mon conjoint et pose le tout dans un casier et nous demande de nous assoir. On s’exécute. Une dame prend notre dossier 10 minutes plus tard, nous pose un peu les mêmes questions : depuis quand êtes-vous sur le territoire canadien Monsieur, avez-vous déjà obtenu un permis de travail ? (Je pense que cette question était pour savoir s’il avait déjà fait ses données biométriques, ce qui n’était pas le cas). Puis, elle nous dit qu’ils ont déjà pas mal de dossiers à traiter donc elle nous propose de revenir une heure plus tard et nous donne un rdv à 11h (il était 9h45) pour faire le dossier. Elle demande avant de partir que Boo paye 155$ pour la demande de permis de travail ouvert.

              C’est Canada Day, il fait super beau, y’a un petit parc à côté, avec plein de stands, l’ambiance est à la fête, on nous distribue des petits drapeaux canadiens 🇨🇦, ça sent bon tout ça pour le visa de conjoint de fait 😃.

              Une heure plus tard, on rentre de nouveau dans le bureau frontalier canadien, le stress monte… Est-ce qu’ils vont accepter notre dossier ou non ? On attend… Au bout de 10 minutes, un douanier prend le dossier, regarde un peu tous les documents et puis il nous dit (en anglais bien sûr) : “Vous n’avez pas les documents en anglais ? Parce que moi, je ne parle pas français…” Mince, c’est mal parti… Je lui explique que je travaille pour une organisation francophone, donc mon contrat est en français, ainsi que la lettre de mon employeur. Ça ne change pas vraiment son humeur et il repart à son bureau… Heureusement, une des agentes frontalières comprenait un peu le français et elle lui dit que mon code CNP est bien un travail qualifié! OUF 🥵

              Il continue sa paperasse, puis se lève et demande à mon conjoint de le rejoindre dans une pièce : prise de données biométriques 🙏 ça commence à sentir bon !

              Une heure plus tard, il nous appelle, le visa permis de travail ouvert est dans ses mains !!! 😍

              Il nous rappelle deux ou trois choses sur le permis de travail ouvert, nous demande de payer le reste (185$) et nous dit que la prochaine fois, il faudra venir avec des papiers en anglais ou sinon aller à un autre bureau, car celui-ci n’est pas bilingue 😳 Étrange tout de même, sachant que les deux langues officielles de ce pays sont le français et l’anglais!

              Bref, ce fut stressant, surtout tout le processus en aval pour faire le dossier, mais finalement on ressort avec le meilleur cas de figure : 2 permis de travail ouvert avec la possibilité de travailler pour qui on veut, où on veut, et même de travailler à son compte.

              Elle n’est pas belle la vie ?!

              Cheers ✌️

              Jen & Laurie

              C’est donc possible d’immigrer avec un PVT pour deux personnes

              Mais soyons franc, c’est un casse-tête.

              Il vaut mieux bien se préparer et bien mettre, s’assurer que sa situation est en règle.

              Pour ça et comme toujours, on vous invite à prendre une consultation avec notre avocat pour voir comment mettre le plus de chance de votre côté en fonction de votre situation personnelle. C’est un petit investissement qui peut changer beaucoup de chose !

              Et surtout en PVT n’oubliez pas de vous assurer! Nous avons d’ailleurs un bon plan de 5% avec la meilleure assurance du marché : Chapka! Profitez de notre bon plan assurance PVT ici!

               

              Bonne semaine la famille,

              Pablito ✌️

              Article rédigé par Jennifer – Serial Expat de l’ouest

              Ce qu’il préfère au Canada lors de son premier mois

              Ce qu’il préfère au Canada lors de son premier mois

              Ce qu’il préfère au Canada lors de son premier mois

              12

              Juillet, 2022

              Canada

              Témoignage

              Arrivée

               

              Il y a deux semaines, nous avions partagé les premières impressions de Sami lors de son arrivée au Canada.

              Après 1 mois sur place, notre jeune explorateur nous partage de nouveau son ressenti, mais cette fois-ci en nous disant ce qu’il préfère au Canada lors de son premier mois.

              Sami Terki, jeune copywriter de talent qui zieute une potentielle expérience au Canada vous dis tout pour notre plus grand plaisir!

              Installer à Montréal du côté de Verdun, il se promène dans le Québec et découvre les joies de la vie Montréalaise.

              Bref, après quelques semaines, il nous a décrit ses premières impressions. Et maintenant, avec sa plume, il nous partage ce qu’il aime particulièrement ici, au pays de l’érable.

              Bref, on vous laisse découvrir sans plus tarder, on vous laisse découvrir ce qu’il préfère au Canada lors de son premier mois.

              Bonne lecture la famille!

               

              Il y a un mois jour pour jour, j’arrivais à Montréal 🍁

              Voilà une sélection de 5 choses que j’apprécie depuis que je suis ici :

              1/ Le sentiment de sécurité 👌

               

              Oui, il y a des vols et des agressions comme partout dans le Monde. Le Canada, c’est pas le pays des bisounours.

              Mais globalement, j’ai moins la sensation d’être en permanence sur mes gardes comme ça peut être le cas dans certaines villes de France.

              J’ai même vu des gens partir en courses en laissant leur voiture ouverte sur le parking. Ça veut tout dire.

              2/ “Salut ! Tu vas bien ?” 😁

              Ça n’a l’air de rien, mais être reçu par un “salut ! Tu vas bien ?” dans presque tous les cafés, restaurants et commerces : ça met de bonne humeur.

              Les premières fois ça fait bizarre 😅

              Puis au bout de quelques jours, on s’y habitue et les relations avec les commerçants et les serveurs deviennent 1000 fois plus sympas.

               

              3/ La gestion des régimes alimentaires spécifiques 🌾 

              Ma copine est coealique (intolérante au gluten).

              En France, quasiment aucun restaurant n’indique la présence des allergènes sur les menus et les rares produits sans gluten que l’on trouve au supermarché coutent une blinde.

              Ici, les rayons sont remplis de produits sans gluten à des tarifs raisonnables et aller au restaurant redevient possible parce qu’une bonne partie d’entre eux affichent clairement les allergènes.

              4/ La diversité 👤

              Dans le métro, j’entends parler français, anglais, espagnol et des tas d’autres langues que je ne connais pas…

              Nommez une culture et vous pouvez être sûr qu’elle est représentée quelque part à Montréal.

              Et tout ce petit monde a l’air de plutôt bien vivre ensemble, malgré les éternelles tensions entre francophones et anglophones.

              5/ J’apprécie plus le fromage 🧀

              C’est paradoxal, mais le fait que le fromage coûte beaucoup plus cher ici est une bonne chose pour moi.

              Au lieu d’en manger des quantités astronomiques chaque semaine, j’en achète moins et je l’apprécie plus.

              Un peu comme l’on savoure une bouteille d’un très bon vin🍷

              (Enfin je n’en sais rien, vu que je ne bois pas de vin. Mais je suppose.)

              Et d’ailleurs, les québecois produisent aussi du très bon fromage. Il n’y a pas que le comté dans la vie.

              PS : J’ai pu rencontrer des personnes très sympas depuis mon arrivée, si vous êtes sur Montréal en ce moment et que vous voulez prendre un café, envoyez-moi un message ☕️

              ce qu'il préfère au Canada lors de son premier mois

              Et voilà, c’était le témoignage de Sami sur ce qu’il préfère au Canada lors de son premier mois !

              Un grand merci à lui de nous laisser partager ses premières impressions au Canada avec nous!

              Si vous avez des questions pour lui, n’hésitez pas à commenter, on lui fera passer le mot et même ajouter le directement sur Linkedin !

              Nous, on vous dit à très vite les explorateurs et comme toujours, si ces témoignages vous motives, vous pouvez rejoindre la famille Canada Explorers pour commencer votre projet d’immigration en boulet de canon.

              Pour nous rejoindre c’est par ici !!

              Bonne journée à toutes et à tous!! ✌️

               

              Article rédigé par Sami Terki – Jeune padawan en expatriation

              Les 3 villes les plus agréables à vivre au Canada

              Les 3 villes les plus agréables à vivre au Canada

              Les 3 villes les plus agréables à vivre au Canada !

              27

              JUIN, 2022

              Villes
              Canada
              Classement

               

              Le classement des villes les plus agréables à vivre au monde vient de sortir ! 

              Mais alors, fait-il bon vivre au Canada ?

              3 villes canadiennes font partie du top 10 💫

              On compte aussi une grande absente parmi ce classement…

              Allez, on met fin au suspense ! 

              Découvrons ensemble les 3 villes les plus agréables à vivre au Canada en 2022.

               

              Si tu hésites encore sur ta future destination, Paul avais écrit un article pour t’aider à choisir entre Montréal, Vancouver et Toronto.

              Si tu me demandes la plus belle ville du Canada, je te réponds Vancouver.

              Si tu me demandes la meilleure ville pour vivre en famille au Canada je te réponds Montréal.

              Les critères pour réaliser ce classement

              5 critères permettent de dresser ce palmarès :

              • Stabilité 
              • Santé
              • Culture & Environnement 
              • Éducation
              • Infrastructure

              Le top 10 des villes les plus agréables à vivre au monde

              1. Vienne 🇦🇹

              2. Copenhague 🇩🇰

              3. Zurich 🇨🇭 – 𝗖𝗮𝗹𝗴𝗮𝗿𝘆 🇨🇦

              5. 𝗩𝗮𝗻𝗰𝗼𝘂𝘃𝗲𝗿 🇨🇦

              6. Genève 🇨🇭

              7. Francfort 🇩🇪

              8. 𝗧𝗼𝗿𝗼𝗻𝘁𝗼 🇨🇦

              9. Amsterdam 🇳🇱

              10. Osaka 🇯🇵 – Melbourne 🇦🇺

              Aucune ville des États-Unis dans ce top 10

                New-York arrive en 51ème position 😱

                 

                Montréal, la grande absente de ce top 10 !

                  Les 3 villes canadiennes les plus agréables à vivre sont :

                  À l’ouest :

                  • Calgary (Alberta) en 3ème position
                  • Vancouver (Colombie-Britannique) en 5ème position

                  À l’est :

                  • Toronto (Ontario) en 8ème position

                  Montréal n’arrive que 23ème de ce classement…

                   

                  Les 3 villes les plus agréables à vivre au Canada Déménager Québec

                  Calgary

                  Les notes sont sur 100 à chaque fois.

                  Note globale : 96.3

                  Stabilité : 95.0
                  Santé : 100
                  Culture & Environnement : 90.0
                  Éducation : 100
                  Infrastructure : 100

                   

                  Vancouver

                  Note globale : 96.1

                  Stabilité : 90.0
                  Santé : 100
                  Culture & Environnement : 100
                  Éducation : 100
                  Infrastructure : 92.9

                   

                  Toronto

                  Note globale : 95.4

                  Stabilité : 95.0
                  Santé : 100
                  Culture & Environnement : 95.4
                  Éducation : 100
                  Infrastructure : 89.3

                  Rêver du Canada c’est bien, passer à l’action c’est mieux !

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                  À bientôt !